Le CBD et le DROIT



La saga judiciaire du CDB continue avec la dĂ©cision du Conseil constitutionnel — Plan et time line — 00:00 abonnement et …

9 Comments

  1. Merci pour ces explications qui sont on ne peut plus claires.
    A titre informatif, en suisse depuis 2018 les autorités disposent de test permettant d'établir lors d'un contrôle si les fleurs détenues par un consommateur ou autre contiennent du thc ou de la cbd et donc de les différencier. Ce test coûte en 30 et 40 cts de francs suisses l'unité et est bien moins onéreux que de faire réaliser l'opération par un laboratoire.
    Autrement dit, les moyens permettant des contrôles rigoureux existent et sont simples d'utilisation. Il ne reste donc pour s'y opposer que la mauvaise foi de nos gouvernants qui ont tout simplement décidé coûte que coûte d'interdire purement et simplement la détention et l'usage de fleur de cbc (qui peut être utilisée par vaporisation et en infusion et non seulement sous la forme d'un joint).

  2. je suis alcoolique car c'est le seul truc LEGALE (l'Ă©tale) qui m'apaise
    je ne veux pas de sĂ©resta …et je n'ai pas droits de me soulager avec le CBD car (Ă  cause du fait qu'il ni a pas de dĂ©struction de mon cerveau , bah j'peux pas aller, choisir mes mĂ©doc)
    j'en aie absolument marre de boire de l'alcool, je sais pourtant que le CBD
    peut m'aider (aider mon foie en tout cas)
    je suis fumeuse de drogue gouvernementale ( de tabac) et si je les crois les tabac a 70 adjuvents cancereux mais PAS LA FLEUR de cana puisque médoc
    Pardon, je ne suis plus Claire

    bref merde, merci

  3. Au même titre que la cigarette n'est pas interdite alors que "fumer tue", on peut s'interroger sur la définition d'un stupéfiant : psychotrope, addictif, délétère. L'alcool, sous toutes ses formes, répond parfaitement à la définition et il ne paraît pas qu'il soit projeté de l'interdire. Les motivations pour maintenir la légalité de ces deux produits sont claires, économiques et fiscales. La santé publique est donc un pretexte parfaitement hypocrite en la matière.
    La legalisation du cannabis pourrait pourtant être une filière commerciale et fiscale, au même titre que le cbd de synthèse. Des considérations morales et culturelles, voire electoralistes sont donc certainement dans la balance et démontrent une fois de plus une frilosité, une indécision, un dilettantisme si français, que l'on plaide pour ou contre cette legalisation.

  4. Très surprise de vous voir sur ce terrain ! En fait, perso je ne vois rien d'incohĂ©rent au regard du fait que la France est le seul pays europĂ©en qui ne reconnait pas la science des plantes Ă  savoir l'herboristerie. Cette dernière pourtant crĂ©Ă©e par la FacultĂ© de mĂ©decine en 1778 mais abrogĂ©e par la loi du 11 septembre 1941 grâce Ă  notre Super MarĂ©chal ! le but Ă©tant de favoriser le lobby des pharmaciens… Aujourd'hui les poursuites judiciaires sont rĂ©gulières mais la profession s'est bien organisĂ©e autour des RĂ©sistants…. En fait rien de nouveau sous le soleil. Au plaisir de vous suivre sur le dossier des huiles essentielles qui subissent le mĂŞme anathème. Merci, bon dimanche et bonne tisane !

Leave a Reply

Your email address will not be published.


*